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Isabelle Bigot commence à peindre au début des années 2000 tout en menant une carrière de psychologue. Son intérêt pour la psychanalyse, l’inconscient, influence sa recherche artistique. Pour elle, ces deux activités se nourrissent l’une l’autre et restent complémentaires.

 

Très vite, Isabelle Bigot s’intéresse à l’abstraction dans une recherche sur la matière et le mouvement. Refusant la narrativité, elle travaille la trace laissée par les passages successifs de peinture et l’épaisseur de la matière.

Elle questionne également le portrait, réinterprète des visages de manière expressionniste, fuit la représentation figurative au profit de l’interprétation et de l’affect. Manipule les lignes et les couleurs. Contrarie l’équilibre des visages.

 

Isabelle Bigot se laisse guider par le mouvement, le rythme.

 

« Je peins ce qui n’est pas pensable pour moi autrement, ce qui se projette de moi à la toile, et ce n’est que dans l’après coup que j’en récupère quelque chose ».

 

 

Si effet il y a, cela se produit dans une résonance corporelle, une emotion, un affect… puis dans l’instant de voir, pour un autre, si le regard s’y arrête. La peinture s'offre alors au regard et le spectateur reste libre et seul interprète.

 

 

 

Isabelle Bigot a travaillé au fil des années auprès de plusieurs peintres professionnels qui lui ont enseigné et transmis savoir faire et technique, et qui l'ont encouragée à poursuivre son travail d’expression artistique.

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